Au Sénégal ça ne fait pas que danser. Les danses sous la cadence frénétique du tam-tam, communément appelé « sabar » dans ce pays, font tomber certains masques et l’on découvre le vrai visage de cette génération de femmes Sénégalaises qui se distinguent par cette perversité que nul n’a le droit d’ignorer.
Quand l’on blâme certains comportements, des audios presque pornographiques qui soulèvent des vagues de salives, de dénonciations, de réprimandes et de d’alertes acérées, il se passe, au même moment, dans un coin du quartier, des séances de danses, en plein air, sous l’effervescence d’un groupe de femmes endiablées, qui s’adonnent inconsidérément à des danses qui méritent mille coups de bâtons dans la place publique…
Regardez !
Qui de plus pervers encore vous de Senego qui faites la promotion de ce genre de spectacle ????
Yenne yenna guena pervers
Merci pour cet article ! Très belle conclusion… 1000 coups de bâton
N’importe quoi, rien d’inhabituel c’est le sabar que nous avons l’habitude de voir. Aucune de ces femmes n’a commis d’actes répréhensibles. C’est notre danse traditionnelle.
Nooo gayi boulerne kase.LI DAGUANE NA SAF NA BAKHENA.LI NERWERTE LAYE AARAAME
Depuis la nuit des temps,la danse des quartiers se pratique ainsi. Il n’y a pas de quoi fouetter un chat ! Arrêtons de dramatiser,il n’y a pas mort d’homme ! Pour ces femmes,c’est leur moment de détente et de partage entre copines. Soyons tolérants et compréhensifs.
Vous avez tout à fait raison.
Dans les années 1950 et 1960 Lors du Sabar de quartier,les batteurs de tam-tam invitaient les danseuses à leurs montrer leurs parties intimes en criant GUISSOU MEU DARA.
Et…
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HA BON DES COUPS DE BATON?O ON VOTE ALORS,JE SUIS CANDIDAT A LA PRESIDENCE DU LEUMBEUL.VOTEZ POUR MOI.
Pffff que des folles!!!!!!!!!
Hoho y a pas des setous pour mieux voir ils connaissent rien les jeunes de aujourd’hui