Le nouveau format d’épreuves d’histoire et de géographie au Baccalauréat et au Brevet de fin d’études moyennes (BFEM) était, mercredi, au centre d’un panel initié par la « Communauté histoire-géographie » à l’amphithéâtre Kocc Barma de la Faculté des sciences et technologies de l’éducation et de la formation (FASTEF), constate l’agence de presse sénégalaise.
Ont pris part à cette rencontre d’échanges des professeurs d’universités, des inspecteurs de l’Education nationale, des inspecteurs de spécialité et des personnalités d’autres disciplines.
Le panel a été organisé dans la perspective d’harmonisation au sein de l’Union économique monétaire ouest africaine (UEMOA).
Pour Chérif Younousse Diédhiou, président de « la communauté histoire-géographie », la rencontre va « offrir la possibilité à l’ensemble des professeurs et des élèves de pouvoir s’imprégner de ces nouvelles réformes d’évaluation au Bac et au BFEM ».
« (…) c’est l’occasion pour les professeurs de s’imprégner de ces réformes pour dispenser un enseignement de qualité aux élèves (…) », a-t-il ajouté.
Cheikh Tidiane Diagne, un des panélistes, a, pour sa part, rappelé les « recommandations fortes formulées au cours de différent ateliers de partage sur les formats et sur les enseignements et apprentissages ».
Selon lui,souligné « il faut mener un plaidoyer par rapport à la question de la réduction des curricula ».
« Il faut surtout essayer de tout mettre en œuvre pour disséminer ce qui est en train d’être fait au niveau central, descendre à la base et partager ces formats d’épreuves avec les cellules pédagogiques (…) », a souligné M. Diagne.
Cheikh Tidiane Diagne a notamment soutenu que l’objectif recherché est « de produire des grilles de correction ».