Le Sénégal veut s’inspirer de l’expérience marocaine, qui compte parmi les plus réussies en matière de gestion des déchets solides.
Le Programme national de Gestion des Déchets Solides Urbain a organisé une mission d’imprégnation au Royaume Chérifien pour une meilleure appropriation et connaissance de gestion des déchets solides. La mission était composée des représentants des directions régionales de l’environnement de Diourbel, Thiès et Kaolack, des maires des communes (Kaolack, Touba et Tivaoune) et représentants des Khalifes généraux. Le ministre Diouf Sarr accompagné d’une forte délégation a pu visiter le système de collecte des déchets et des infrastructures de rabat, le Centre d’enfouissement technique de Fès, avec son système de valorisation énergétique du biogaz et la cimenterie de Casablanca qui valorise les Combustibles de récupération(CSR), nous dit un communiqué parvenu à nos soins.
«Le Maroc a une politique saine dans le domaine de la gestion des déchets. Nous sommes donc, venus pour voir dans quelle mesure nous pouvons nous inspirer de la forte expérience marocaine en la matière», mentionne la même source citant le ministre de la gouvernance locale, du développement et de l’aménagement du territoire, Abdoulaye Diouf Sarr. L’objectif de cette visite consiste à «partager les expériences et les expertises et permettre aux pays africains de tirer profit de l’expérience marocaine», a-t-il fait savoir, ajoutant que le Centre d’enfouissement et de valorisation des déchets de Fès est un projet intégré dans la région, qui permettra la production de l’énergie.
Avant d’ajouter que la gestion des déchets et l’intégration de l’environnement dans le développement restent de grands défis pour les pays africains, expliquant que ces derniers ont besoin d’intensifier leur collaboration pour partager les bonnes pratiques. Ibrahima Diagne Coordonnateur de l’Unité de Coordination et de Gestion des déchets solides, de l’UCG, a pour sa part souligné que le Maroc a des similitudes en matière socioculturelle sur le plan économique tant sur le plan de l’architecture des habitats, mais aussi sur le niveau de développement.
«Donc nous ne pouvons pas choisir un pays plus adopté que le Maroc pour se ressourcer pour mieux mettre en œuvre le Programme national de gestion des déchets, qui est dans sa phase de démarrage, qui est dans un processus de conception, de structuration, de mise en œuvre», dit-il dans le texte. «C’est pour cela il fallait venir avec tous ces acteurs pour les défis qu’ils ont eu à relever, les difficultés qu’ils ont surpassées et les réussites qu’ils ont capitalisées».
Rewmi
mdrrr maroc ennemi d galsen
Attention,gnoun ak narr yi dou bénn dé. Nététou, jumbo, pagne, guédj tambadieng, kétiah, latie, persil, pobar , kani, yétt, yokhoss,niébé…Li yeup nga boléko,ndaw dayy you khégne. carrément
Si copier mais CES kawkaw volent les couvercles des egouts et pissent partout les ambulants font ce qu ILS veulent au non du dane dole triste pays
Depuis de belles lurettes vous nous tympanisez sur les questions de la gestion des ordures et la rèsolution des problémes de l' inodation .Je me demande l'effort que vous avez fait pour régler ces problème quand je vois nos villes sont les plus sales de la planète et que à chaque hivernage nos populations pataugent dans les eaux pluviales.Arrêtez vos théories et mettez-vous aux pratiques,on en a marres de vos dicours car on sait si l'état veut régler ces problèmes il peut le faire.